30/01/2012Finale Open d'Australie 2012Pascal Maria a arbitré la finale 2012 de l'Open d'Australie. Novak Djokovic s'impose au bout de la nuit face à Rafael Nadal dans ce qui reste pour l'instant la plus longue finale de grand chelem : 5h53. A la fin du match, Pascal Maria avoua : "
Je suis KO, j'ai besoin d'une bonne bière !". Mais ce match fait partie de ses meilleurs souvenirs : "
C'était une partie d'une intensité physique incroyable. J'ai indéniablement eu la chance d'arbitrer des grands matches !"
28/01/2012Son avis sur le Hawk EyeEn janvier 2012, lors d'un entretien accordé à la FFT, Pascal Maria donne son avis sur le Hawk Eye : "
Le Hawk Eye a changé pas mal de choses à l’arbitrage, mais en bien. La plupart de nos erreurs sont corrigées. Il nous met aussi beaucoup plus de pression car nous sommes jugés sur chaque balle désormais alors qu’avant, l’arbitre avait toujours raison. Mais il faut que les arbitres continuent à prendre des décisions, ça, ça ne doit pas changer.".
06/07/2008Finale Wimbledon 2008"
Le match qui m'a sans doute le plus marqué", confiait Pascal Maria en 2013, c'est la première victoire de Rafael Nadal à Wimbledon. Le Majorquin s'est imposé à la tombée de la nuit face à Roger Federer 9-7 dans la 5ème manche. "
Ce que le public n'a pas su, c'est qu'à 7-7, avec les deux joueurs, nous nous étions mis d'accord pour disputer encore deux jeux et de reprendre éventuellement le lendemain".
22/01/2003Marathon Roddick El AynaouiLe match marathon entre Andy Roddick et Younes El Aynaoui fait partie de ces matches arbitrés par Pascal Maria qui lui "
ont apporté beaucoup de bonheur". C'était en 2003 en quart de finale de l'Open d'Australie. C'est la seule rencontre entre ces 2 joueurs. La jeune star montante américaine de 21 ans vient à bout de l'expérimenté Marocain de 31 ans après un combat long de 5h, 21-19 dans le 5ème set.
09/06/2002Finale Roland Garros 2002C'est à Roland Garros en 2002 que Pascal Maria arbitre sa toute première finale de grand chelem. Une finale 100% espagnole : Albert Costa s'impose face à Juan Carlos Ferrero. Pascal Maria a alors 29 ans. "
J'ai ressenti une certaine fierté parce… on a tous ça dans le sang ! Roland, c'est un mythe ! En même temps, c'est une pression de dingue, donc c'était un mix de fierté et de peur."